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Nos projets

 1. Initiative BARUNDI HAGURUKA DUKORE"BHD"

Qu’est-ce que BARUNDI HAGURUKA DUKORE « BHD »?
 
« Barundi Haguruka Dukore « BHD »., (en Kirundi) ou Réveillez-vous pour travailler (en Français) ou Wake up and Work (en Anglais) », est l’initiative (Projet) de BWCD à travers laquelle l’on encadre et l’on appuie et l’on accompagne les bénéficiaires cibles, selon la thématique choisie, dans une équipe ne dépassant pas 25 membres sur colline ou quartier.

2.Projet d'appui à l'entrepreneuriat
  
L’ONG BURUNDIAN WAKING CENTER FOR DEVELOPMENT “BWCD” offre d’organiser des ateliers de formations en entrepreneuriat   à la communauté tant rurale qu’urbaine sur le développement holistique et intégrale de tous vue l’impasse qui se crée au jour le jour. 

L’ONG BWCD propose de travailler et mobiliser les jeunes et jeunes adultes scolarisés et/ou sans instruction pour participer aux initiatives visant la mobilisation de la communauté pour renforcer leur développement socio-économique et professionnel durable et sûr.
L’ONG BWCD est née de la crainte du chômage qui se manifeste sur le plan d’emplois des demandeurs.
Le Burundi est confronté à une croissance démographique que la croissance économique ne parvient pas à suivre actuellement. Le sous-emploi rural, les activités informelles de service et le chômage urbain composent le paysage de l'emploi au Burundi et constituent les facteurs essentiels de la pauvreté et des crises de confiance mutuelle. En effet, il existe un lien très étroit entre la pauvreté et le chômage en milieu urbain et le sous-emploi généralisé en milieu rural et en classe de l’élite nationale. En effet, la création d'emploi ou la possibilité d’emploi reste l'un des défis majeurs auquel le Burundi est confronté. La situation est très préoccupante au niveau des jeunes et des jeunes adultes qui constituent l’essentiel des demandeurs d’emploi et qui n’arrivent pas à assurer leur existence. La tranche de population dite active (de 15 ans ou plus) est démographiquement très prépondérante. Le taux de chômage en progression continue, voire en accélération (effets conjugués de la croissance démographique et de la faiblesse des secteurs modernes) est devenu un danger pour tous suite à la précarité de l’essentiel des emplois.

3.Projet d'appui à l'amélioration des pratiques agricoles et à la protection de l'environnement


Le pays vit essentiellement de l’agriculture qui est elle-même en dégradation. A titre d’exemple, l’agriculture Burundaise est sujette aux caractères imprévisibles et irréguliers de la pluviométrie. Au cours de ces dernières années, le pays a connu, une baisse de la pluviométrie moyenne et une progression de la désertification. Les sécheresses répétitives ont laissé beaucoup de ruraux vulnérables et soumis aux pénuries alimentaires (Province de Kirundo et ailleurs). Plusieurs zones des régions naturelles, autrefois grenier du pays ont souffert d’une faible pluviométrie ayant comme conséquence la famine, la faim, la pauvreté et des migrations vers les pays limitrophes ou d’autres provinces du pays. Tout cela fait de ces populations des victimes d’ignorance et d’incapacité imputées principalement aux pouvoirs publics, mais en définitif à ces populations incapables d’adapter leurs conditions aux capacités innées que Dieu a mises en eux. 
La dégradation de l’environnement, la pollution potentielle des nappes phréatiques due aux engrais chimiques, risque de salinité et d’alcalinité des sols, et pression grandissante sur les pâturages locaux et les ressources foncières autour de certains périmètres, qui y pense ? Qui fait quoi ? Une question se pose ici : où sont les agronomes ? Où sont-les ingénieurs civils ? Où sont les géographes et les topographes? Où sont les environnementalistes ? Où sont tous ces services techniques et ces cerveaux formés localement au Burundi et dans d’autres pays d’Europe, d’Amérique, d’Asie et d’ ailleurs au fonds contribués par ces populations civiles victimes? Or, au retour après leurs études, ces cerveaux se trouvent incapables de prouver aux contribuables leur solidarité par leur expertise et connaissances
La situation environnementale du pays reste caractérisée par un régime pluviométrique très fluctuant et globalement déficitaire à cause des déboisements massifs au Burundi, soit pour des raisons naturelles, soit pour des motifs égoïstes ou criminels, et de la mise à nue des écrans biophysiques. Tout cela entraîne l’accélération des érosions éoliennes et hydriques et l’élargissement des zones de déperditions forestières un phénomène qui n’est toujours pas neutralisé de façon suffisante. Des sachets non-bio-dégradables envahissent nos aires, de l’insalubrité autour de nous en quartier, des eaux stagnantes et manque d’assainissement, bref on vit au quotidien sans se soucier du lendemain ni de l’avenir de ces petits enfants laissés en feu fumant.
Les principaux axes stratégiques qui seront mobilisés dans ce domaine incluent notamment : 
- la préservation et le renforcement des acquis dans le domaine de la protection de l’environnement ; 
- la prévention de la dégradation de l’environnement ; 
- la restauration des milieux dégradés ; 
- le renforcement des capacités des jeunes et jeunes adultes au niveau national dans le domaine de l’environnement et salubrité ; 
- le renforcement des capacités des collectivités locales à gérer leurs propres ressources naturelles et au revêtement des aires dégradées, à la canalisation et au sauvegarde de la terre arable ; 
- la promotion d’une approche participative, globale et itérative visant l’appropriation des potentiels nationaux dans le domaine de l’environnement et de salubrité.

4. Projet d'appui à la promotion de l'apiculture(élevage des abeilles) au Burundi

Le secteur apicole est un domaine particulier le plus privilégié par l’ONG BWCD ayant ses propres Objectifs clairs: 
D’abord, amélioration de la santé des abeilles  et multiplication de leurs colonies ainsi que les arbres à fleurs est la première voie d’améliorer la qualité et  la quantité de miel sur le sol burundais par la promotion de l’apiculture alternative.
A partir de l’an 2020, plus de 80% de la population burundaise utilisent le miel comme nutrition de base et comme médicament préventif  pur certaines maladies. 

 

Date de dernière mise à jour : 03/04/2018

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